Vous êtes un adepte des petites voitures et très attiré par une petite Smart car vous aimez ce qui sort de l'ordinaire. Vous avez repéré une série limitée avec la capote automatique en tissu, que vous pouvez fermer en roulant, et ce quelle que soit la vitesse. Pour une sensation de liberté, vous pouvez retirer aussi les traverses latérales du toit et les ranger dans le volet du hayon du coffre dans un minimum de place.
Mais pour vous faire ce petit plaisir, vous n’avez pas « d’espèces sonnantes et trébuchantes » et vous ne voulez pas alourdir votre budget avec un prêt.
Avant de trouver une solution, voyons l’origine de cette expression.
Quant on a vu Blaze devant Don Salluste de Bazan dans le film « La folie des grandeurs », on comprend la musique que font les pièces d’or lorsque qu’elles s’entrechoquent !
D’ailleurs, on reconnaissait la matière ou l’alliage dont les pièces de monnaie étaient faites au son.
Ensuite, si la pièce était sonnante, il fallait aussi qu’elle soit trébuchante. Bien sûr, on n’a jamais vu une pièce de monnaie déambuler, puis trébucher et tomber pile face contre terre ! Ce terme est apparu au XIVe siècle : un « trébuchet » (à ne pas confondre avec ses synonymes désignant, pour l’un, une pièce d’artillerie médiévale de jet actionnant une fronde au bout d’une verge par l’effet d’un contrepoids pour lancer un projectile et, pour l’autre, un piège à oiseau) était une balance comportant deux plateaux suspendus à un fléau servant à la pesée de précision des petits poids : or, argent, pierres précieuses, bijoux. Une pièce « trébuchante » était donc une pièce qui avait le poids requis après qu'elle ait été « trébuchée » c'est-à-dire pesée sur un trébuchet.
Les espèces sonnantes et trébuchantes désignaient donc des pièces neuves, authentiques. C'est à partir du XVIe siècle que des « espèces sonnantes et trébuchantes » désignèrent plaisamment les pièces de monnaie et, par extension, de l'argent liquide, même en billets de banque.
Alors, sans « espèces sonnantes et trébuchantes », comment obtenir votre Smart ? En pensant au rachat de credit, bien sûr ! Un courtier vous confirmera qu’un regroupement de prêts est réalisable dans votre situation et permet, grâce à la consolidation de ces derniers sur une période d’amortissement allongée de financer l’achat de ce modèle sans augmenter votre « taux d’effort ». Il vous expliquera que vos encours actuels, y compris le cas échéant votre prêt immobilier, seront regroupés en un seul prêt dit « de substitution » garanti par la maison dont vous êtes propriétaire, soit par une hypothèque conventionnelle se substituant à celle (ou PPD) du prêt d’acquisition, soit par un cautionnement mutuel. La mensualité globale de ce rachat de credit immobilier, si c’est la formule que vous préfèrerez, sera donc peu ou prou maintenue, voire réduite et vous n’aurez plus qu’un seul interlocuteur sans changer de banque.
Faites vous donc ce petit plaisir et, grâce au rachat de crédits, pas besoin d’avoir « des espèces sonnantes et trébuchantes » !
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