Les temps sont durs pour vous, en ce moment… Vous vous êtes endetté pour acheter votre appartement, il y a huit ans et cette année, vous avez été contraint d’investir dans une voiture et même si vous avez profité de la prime à la casse, vous avez de lourdes mensualités à rembourser.
Comble de malchance, votre dentiste, après examen des photos panoramiques et du scanner qu’il vous a fait faire, vous annonce qu’un implant dentaire est la seule solution pour vous, étant donné l’état de vos dents et de la fonte osseuse de votre mâchoire. Vous savez parfaitement que l’implant dentaire est considéré comme un acte « hors nomenclature » par la Sécurité Sociale, qu’il n’est pas codifié et donc qu’il n’est pas remboursé. En revanche, la prothèse dentaire sur implant, tel le bridge complet en céramique scellé qui vous est indispensable, bénéficie quant à lui d’une codification mais son remboursement est dérisoire ( 70% d’une base de 182,75 € ) alors que son coût peut aller de 2500 € à 18.000 €. Même les mutuelles santé ne compensent généralement pas la différence -loin s’en faut- en limitant leur remboursement à un pourcentage de la base Sécurité Sociale ( par exemple 250% ) éventuellement assorti d’un plafond annuel ou à un forfait.
Depuis que votre dentiste vous a informé de cette mauvaise nouvelle, non seulement vous souffrez mais vous vous « faites du mauvais sang » en vous demandant comment vous allez sortir de cette impasse.
Pourquoi dit-on « se faire du mauvais sang » ?
C’est une expression qui remonte au Moyen Age et a fait son entrée au Dictionnaire de l’Académie française en 1718. « Se faire du mauvais sang », c’était fabriquer du sang altéré à cause des soucis qui nous rongent ( comme dans l’expression voisine : « se ronger les sangs » ) et … font nous faire de la bile à moins que ce soit un sang d’encre ! Aujourd’hui, il est prouvé qu’un excès de stress a un effet néfaste sur la santé sans pour autant être certain que cet état influe sur la composition du sang.
Donc, vous vous faites beaucoup de souci à cause de cette dépense incontournable que vous ne savez pas comment assurer. Vous êtes très inquiet.
C’était sans compter sur le rachat de crédit propriétaire qui, en l’occurrence, devient un « rachat de crédit santé » !
Vous êtes allé sur le web à la recherche des sites des télé-courtiers en crédit spécialisés dans la restructuration financière des particuliers. Le professionnel indépendant des banques que vous avez choisi, vous a expliqué que le rachat de prêts va regrouper vos encours actuels, y compris votre prêt immobilier, et vos dettes en un seul prêt dit « de substitution ». Il va aussi intégrer le financement de votre prothèse dentaire et répondre ainsi à vos attentes tout en vous conservant votre pouvoir d’achat. Vous n’aurez alors plus qu’un seul prêt à taux fixe, avec ou sans hypothèque, amortissable sur une durée plus longue afin que votre nouveau taux d’effort mensuel s’inscrive dans votre capacité d’endettement et vous laisse de quoi vivre confortablement. La période de taux historiquement bas rend ce rachat de credit immobilier encore plus intéressant.
Alors, ne vous « faites plus de mauvais sang ». Contactez votre dentiste et faites réaliser votre prothèse en toute sérénité.
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