Ce n'est nouveau pour personne : le chômage a fortement progressé en France. Même si les indicateurs laissent envisager une reprise de l'activité, il faudra du temps pour que cela se traduise par une reprise de l'emploi.
Vous en savez quelque chose : il y a cinq ans, vous avez fait l’acquisition d’un appartement en banlieue parisienne, par le biais d’un crédit immobilier. Voici encore six mois, votre épouse et vous-même travaillez tous les deux. Gagnant bien votre vie, vous avez aménagé un petit intérieur sympathique en cumulant quelques crédits à la consommation pour la cuisine, le salon, les chambres…Un bébé est né voici deux ans et vous avez dû acheter une voiture plus spacieuse.
L’année passée, votre épouse a été licenciée pour raisons économiques. Et depuis votre situation financière s’est détériorée. Jusqu’à présent, vous dépensiez sans trop compter et maintenant les incidents de paiements s’enchaînent et le surendettement n’est pas loin…
Que faire pour vous « retirer cette épine du pied » ?
L'épine, l’écharde, le clou, le bout de verre ou quoi que ce soit d’autre qui s’est planté dans le pied peut en effet être très désagréable, d’abord douloureux et qui peut même devenir infectieux.
Alors quand vous-mêmes ou quiconque d’habile et de pas trop sensible parvient à extraire la chose de la plante de votre pied, c'est un sentiment immédiat de soulagement qui succède à la douleur et/ou à la crainte.
Au XVe siècle, « l'épine au pied » a pris le sens figuré de difficulté, puis plus tard, de situation pénible ou inquiétante.
Au XVIe siècle, elle-même est un peu plus forte qu'aujourd'hui. En effet, lorsque dans ses « Curiositez francoises » écrites en 1640, Antoine Oudin écrit « il m'a tiré une mauvaise épine du pied », il veut dire : « il m'a délivré d'une fâcheuse affaire ou d'un grand danger ».
Aujourd'hui, on dit de celui qui a enlevé à autrui une épine du pied qu’il l’a sorti d’un mauvais pas ou lui a évité une difficulté.
Revenons à votre problème. Comment « retirer cette épine du pied » ?
Tout simplement en faisant un rachat de credit. Faites appel à un établissement spécialisé dans la restructuration. Le courtier vous expliquera que le réaménagement de crédits est une solution financière qui permet de regrouper les encours existants, en un seul prêt dit de substitution. Dans votre cas, cette solution est possible, car un des conjoints travaille en CDI.
Vous pouvez être rassurés. Grâce au rachat de crédits chômage, votre taux d’endettement va être ramené à un niveau inférieur, sachant que les banques ne prennent jamais en compte les prestations Assedic dans le calcul des revenus et donc du « taux d’effort ».
Vous allez vous trouver dans une situation financière beaucoup plus confortable qui vous permettra de passer cette période difficile plus sereinement.
Le regroupement de crédits vous aura ainsi « retiré une épine du pied » !
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