Je m’appelle Julie, j’ai 37 ans. Je suis mariée à Damien et je suis maman de 3 enfants de 7, 9 et 13 ans. Mon histoire, je pense, peut aider beaucoup de personnes aujourd’hui. Je voudrais raconter le cauchemar que nous avons traversé, moi et ma petite famille, en espérant que ce témoignage encouragera tous ceux qui vivent actuellement, comme ce fut notre cas autrefois, une situation de surendettement et les aidera à décider de recourir au rachat de crédit propriétaire ou locataire, selon leur situation.
Je travaille comme superviseur chez un grand discounter et Damien travaillait en tant que machiniste en usine. Suite à la mutation de mon mari vers un autre site en 2001, j’ai dû quitter mon travail d'avant, secrétaire administrative, pour en trouver un autre dans la ville où Damien allait désormais travailler.
Et j’ai trouvé cet emploi chez le discounter. On gagnait à nous deux à l’époque 2 900 euros net par mois et avec les diverses allocations pour les enfants, nos revenus s’élevaient en tout, à environ 3 400 euros.
Comme nous n’avons pas trouvé une maison ou un appartement convenable à louer dans notre nouvelle ville - et même dans la région -, nous avons vidés nos comptes d’épargne et contracté un crédit auprès de notre banque pour l’achat d’une maison. Le crédit accordé, on a acquis un petit pavillon pour 180 000 euros, avec une mensualité de 1052 euros, étalée sur 20 ans. La mensualité nous a paru un peu élevée au départ, mais après de savants calculs, il s’avérait que nous allions pouvoir vivre convenablement. Et puis, on savait qu’on payait pour notre « chez nous » donc c’était beaucoup plus motivant.
Quand on s’est installé dans le pavillon, on a dû financer les divers travaux nous-même. Il nous a fallu également rééquiper notre nouvel intérieur. Ce qui nous a amené à contracter divers crédits à la consommation, dont des revolving certes chers mais si faciles et si rapides à obtenir, pour l’électroménager, les meubles, la chambre du dernier-né qui avait alors 2 mois, et aussi pour acheter une nouvelle voiture. Donc avec le crédit immobilier, nous avons un total de 1 928 euros à payer tous les mois. Nous nous en sommes sortis en gérant raisonnablement notre budget. Pas de folie certes, mais on ne serrait pas trop la ceinture non plus grâce aux réserves d’argent qui permettaient de boucler certaines fins de mois difficiles.
Tout a basculé vers la fin 2006, quand mon mari a été licencié pour cause économique et que cet état de choses nous faisait 400 euros en moins de revenus. Avec les crédits à rembourser, car malheureusement aucun ne bénéficiait d’une assurance chômage, il nous restait environ 900 euros pour assumer les diverses charges de la famille. Nous avons d’abord pensé que mon mari trouverait rapidement un autre emploi ; ce ne fut pas le cas et un an après, toujours rien ! Il touchait bien les Assedic mais de toutes façons le trou dans le budget était bien trop grand et ses indemnités ne dureraient pas toujours.
Mon couple et surtout mes enfants ont vraiment pâti de la situation. Nous parlions de divorce, de confier pour un certain temps les enfants à ma sœur, et je dois avouer que le pire m’a déjà traversé l’esprit. J’ai essayé de trouver un petit travail à côté, histoire d’essayer d’augmenter nos maigres revenus mais je n’en ai trouvé aucun compatible avec mes horaires, donc impossible de trouver une meilleure solution !
Mon mari de son côté faisait divers petits travaux chez les voisins : plomberie, jardinage ou gardiennage occasionnel, mais autant dire qu’il ne gagnait presque rien, le peu qu'il gagnait ne suffisait vraiment pas, sauf à nous décourager encore davantage. Après des mois, nous avons alors demandé à nos créanciers de revoir les mensualités à la baisse ou tout au moins de reculer certaines échéances. Mais, nous avons vu nos demandes refusées une à une et imaginez notre désespoir et notre impuissance face à une situation que certes, nous avons « provoqué » mais nous n’imaginions pas à l’époque que mon mari perdrait son travail et que les crédits « salvateurs » deviendraient notre pire cauchemar !
Malgré la misère qui nous guette, nous n’osions plus emprunter auprès de nos amis, car nous n’arrivions même pas à rembourser à temps ce qu'ils nous avaient déjà prêté. Désespérée et complètement à bout, je me suis confiée à une collègue qui m’a conseillé de faire une demande de rachat de crédit car c’était plus qu'évident que nous étions en surendettement !
C’est alors que mon mari retrouva un emploi équivalent à celui qu’il avait perdu.
Entre-temps, nous avons commencé toutes les démarches en vue d’obtenir un rachat de crédit propriétaire. D’abord, la société de rachat de crédits que nous avions sélectionnée sur Internet établit un diagnostic de notre situation d’ensemble et notre endettement qui dépassait alors plus de 60% de nos revenus. La seule solution qui s’offrait à nous consistait dans un rachat de crédit propriétaire assorti d’une garantie hypothécaire sur notre maison. Tous nos crédits et nos dettes auprès de la famille et des amis seraient soldés et, grâce à une durée de remboursement plus longue, la mensualité serait de moitié inférieure à ce que nous payons actuellement. Malgré les hausses importantes liées à une inflation sévère, le taux nominal fixe ne serait que de 6%, soit, en tenant compte de tous les frais d’un TEG de 6,87%, c’est à dire inférieur à la plupart à ceux de nos prêts en cours. Après, avec l’aide de l’analyste qui s’occupait de notre dossier, nous avons rassemblé toutes les pièces justificatives nécessaires. Elle a déposé notre demande de rachat de crédit propriétaire auprès de l’établissement de crédit spécialisé dans le rachat de créances qu’elle avait sélectionnée car ses critères correspondaient le mieux à notre profil. Nous avons attendu fiévreusement la réponse. 24 heures en tout ! Une réponse favorable et rapide qui nous a surpris et libérés. Le courtier en rachat de crédit nous avait obtenu un prêt hypothécaire d’un montant total de 151.600 €, incluant tous les frais y afférents ( dont 8600 € de perceptions forfaitaires) amortissable en 300 mensualités fixes de 977 € hors assurance, soit un coût total de 148.600 €. Préférant pratiquer par délégation pour l’assurance emprunteur, il nous a obtenu une mensualité de 39 € pour l’assurance décès-invalidité-incapacité et de 19 € pour le chômage. Cette fois-ci nous serions bien assurés. Avec l’assurance-emprunteur, le TEG s’établissait à 7.59% et le coût total à 166.000 €.
A partir de ce moment, tout s’est bien déroulé : la société de rachat de crédit s’est occupé des différentes démarches auprès de nos créanciers, d’obtenir tous les documents administratifs et de préparer la signature de l’acte en la forme authentique chez le Notaire, en raison de l’hypothèque, chez qui l’analyste nous a accompagnés pour veiller au bon déroulement des opérations. Ainsi, nous avons bénéficié d’un rachat de crédit propriétaire qui regroupe tous nos crédits immobilier, de consommation, revolving et notre découvert bancaire, ainsi que l’ensemble de nos dettes personnelles, en un seul.
Au final, nous n’avons aujourd’hui qu’un crédit unique avec une mensualité fixe de 977 euros, ce qui a augmenté largement notre pouvoir d'achat ! Nous envisageons même de contracter un nouveau prêt immobilier, après avoir vendu notre pavillon qui commençait à être petit pour les cinq membres de la famille. Mais, il faudra encore attendre que le premier prêt soit un peu plus amorti, disons à ses 2/3 pour ne pas trop alourdir notre endettement désormais situé dans la norme. Alors, nous pourrons recourir pour, compléter notre budget « achat de maison » à l’hypothèque rechargeable, ce qui nous permettra de réutiliser notre hypothèque initiale sans pour autant refaire toutes les formalités.
Pour l’instant, avec le rachat de créances et le nouveau salaire de mon mari, notre budget fonctionne à merveille. Je crois et je suis sûre que sans le rachat de crédit propriétaire, nous serions actuellement au bord du gouffre, si ce n’est déjà au fond !
Je travaille comme superviseur chez un grand discounter et Damien travaillait en tant que machiniste en usine. Suite à la mutation de mon mari vers un autre site en 2001, j’ai dû quitter mon travail d'avant, secrétaire administrative, pour en trouver un autre dans la ville où Damien allait désormais travailler.
Et j’ai trouvé cet emploi chez le discounter. On gagnait à nous deux à l’époque 2 900 euros net par mois et avec les diverses allocations pour les enfants, nos revenus s’élevaient en tout, à environ 3 400 euros.
Comme nous n’avons pas trouvé une maison ou un appartement convenable à louer dans notre nouvelle ville - et même dans la région -, nous avons vidés nos comptes d’épargne et contracté un crédit auprès de notre banque pour l’achat d’une maison. Le crédit accordé, on a acquis un petit pavillon pour 180 000 euros, avec une mensualité de 1052 euros, étalée sur 20 ans. La mensualité nous a paru un peu élevée au départ, mais après de savants calculs, il s’avérait que nous allions pouvoir vivre convenablement. Et puis, on savait qu’on payait pour notre « chez nous » donc c’était beaucoup plus motivant.
Quand on s’est installé dans le pavillon, on a dû financer les divers travaux nous-même. Il nous a fallu également rééquiper notre nouvel intérieur. Ce qui nous a amené à contracter divers crédits à la consommation, dont des revolving certes chers mais si faciles et si rapides à obtenir, pour l’électroménager, les meubles, la chambre du dernier-né qui avait alors 2 mois, et aussi pour acheter une nouvelle voiture. Donc avec le crédit immobilier, nous avons un total de 1 928 euros à payer tous les mois. Nous nous en sommes sortis en gérant raisonnablement notre budget. Pas de folie certes, mais on ne serrait pas trop la ceinture non plus grâce aux réserves d’argent qui permettaient de boucler certaines fins de mois difficiles.
Tout a basculé vers la fin 2006, quand mon mari a été licencié pour cause économique et que cet état de choses nous faisait 400 euros en moins de revenus. Avec les crédits à rembourser, car malheureusement aucun ne bénéficiait d’une assurance chômage, il nous restait environ 900 euros pour assumer les diverses charges de la famille. Nous avons d’abord pensé que mon mari trouverait rapidement un autre emploi ; ce ne fut pas le cas et un an après, toujours rien ! Il touchait bien les Assedic mais de toutes façons le trou dans le budget était bien trop grand et ses indemnités ne dureraient pas toujours.
Mon couple et surtout mes enfants ont vraiment pâti de la situation. Nous parlions de divorce, de confier pour un certain temps les enfants à ma sœur, et je dois avouer que le pire m’a déjà traversé l’esprit. J’ai essayé de trouver un petit travail à côté, histoire d’essayer d’augmenter nos maigres revenus mais je n’en ai trouvé aucun compatible avec mes horaires, donc impossible de trouver une meilleure solution !
Mon mari de son côté faisait divers petits travaux chez les voisins : plomberie, jardinage ou gardiennage occasionnel, mais autant dire qu’il ne gagnait presque rien, le peu qu'il gagnait ne suffisait vraiment pas, sauf à nous décourager encore davantage. Après des mois, nous avons alors demandé à nos créanciers de revoir les mensualités à la baisse ou tout au moins de reculer certaines échéances. Mais, nous avons vu nos demandes refusées une à une et imaginez notre désespoir et notre impuissance face à une situation que certes, nous avons « provoqué » mais nous n’imaginions pas à l’époque que mon mari perdrait son travail et que les crédits « salvateurs » deviendraient notre pire cauchemar !
Malgré la misère qui nous guette, nous n’osions plus emprunter auprès de nos amis, car nous n’arrivions même pas à rembourser à temps ce qu'ils nous avaient déjà prêté. Désespérée et complètement à bout, je me suis confiée à une collègue qui m’a conseillé de faire une demande de rachat de crédit car c’était plus qu'évident que nous étions en surendettement !
C’est alors que mon mari retrouva un emploi équivalent à celui qu’il avait perdu.
Entre-temps, nous avons commencé toutes les démarches en vue d’obtenir un rachat de crédit propriétaire. D’abord, la société de rachat de crédits que nous avions sélectionnée sur Internet établit un diagnostic de notre situation d’ensemble et notre endettement qui dépassait alors plus de 60% de nos revenus. La seule solution qui s’offrait à nous consistait dans un rachat de crédit propriétaire assorti d’une garantie hypothécaire sur notre maison. Tous nos crédits et nos dettes auprès de la famille et des amis seraient soldés et, grâce à une durée de remboursement plus longue, la mensualité serait de moitié inférieure à ce que nous payons actuellement. Malgré les hausses importantes liées à une inflation sévère, le taux nominal fixe ne serait que de 6%, soit, en tenant compte de tous les frais d’un TEG de 6,87%, c’est à dire inférieur à la plupart à ceux de nos prêts en cours. Après, avec l’aide de l’analyste qui s’occupait de notre dossier, nous avons rassemblé toutes les pièces justificatives nécessaires. Elle a déposé notre demande de rachat de crédit propriétaire auprès de l’établissement de crédit spécialisé dans le rachat de créances qu’elle avait sélectionnée car ses critères correspondaient le mieux à notre profil. Nous avons attendu fiévreusement la réponse. 24 heures en tout ! Une réponse favorable et rapide qui nous a surpris et libérés. Le courtier en rachat de crédit nous avait obtenu un prêt hypothécaire d’un montant total de 151.600 €, incluant tous les frais y afférents ( dont 8600 € de perceptions forfaitaires) amortissable en 300 mensualités fixes de 977 € hors assurance, soit un coût total de 148.600 €. Préférant pratiquer par délégation pour l’assurance emprunteur, il nous a obtenu une mensualité de 39 € pour l’assurance décès-invalidité-incapacité et de 19 € pour le chômage. Cette fois-ci nous serions bien assurés. Avec l’assurance-emprunteur, le TEG s’établissait à 7.59% et le coût total à 166.000 €.
A partir de ce moment, tout s’est bien déroulé : la société de rachat de crédit s’est occupé des différentes démarches auprès de nos créanciers, d’obtenir tous les documents administratifs et de préparer la signature de l’acte en la forme authentique chez le Notaire, en raison de l’hypothèque, chez qui l’analyste nous a accompagnés pour veiller au bon déroulement des opérations. Ainsi, nous avons bénéficié d’un rachat de crédit propriétaire qui regroupe tous nos crédits immobilier, de consommation, revolving et notre découvert bancaire, ainsi que l’ensemble de nos dettes personnelles, en un seul.
Au final, nous n’avons aujourd’hui qu’un crédit unique avec une mensualité fixe de 977 euros, ce qui a augmenté largement notre pouvoir d'achat ! Nous envisageons même de contracter un nouveau prêt immobilier, après avoir vendu notre pavillon qui commençait à être petit pour les cinq membres de la famille. Mais, il faudra encore attendre que le premier prêt soit un peu plus amorti, disons à ses 2/3 pour ne pas trop alourdir notre endettement désormais situé dans la norme. Alors, nous pourrons recourir pour, compléter notre budget « achat de maison » à l’hypothèque rechargeable, ce qui nous permettra de réutiliser notre hypothèque initiale sans pour autant refaire toutes les formalités.
Pour l’instant, avec le rachat de créances et le nouveau salaire de mon mari, notre budget fonctionne à merveille. Je crois et je suis sûre que sans le rachat de crédit propriétaire, nous serions actuellement au bord du gouffre, si ce n’est déjà au fond !
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