Surendettement : Il y a péril en la demeure


Á l’heure actuelle, les ménages ont tendance à cumuler les crédits : ils empruntent pour acquérir leur résidence principale, pour acheter une voiture, aménager leur intérieur et même pour leurs loisirs. Lors des premiers remboursements, les mensualités paraissent toujours supportables. Mais les dépenses imprévues, les études des enfants, les incidents de la vie font que les foyers ont de plus en plus du mal à boucler leur fin de mois et décident de souscrire un crédit à la consommation, voire un crédit revolving, et se mettent dans une situation délicate. Lorsque la fin du mois arrive, les remboursements des mensualités ne peuvent être honorées et engendrent des frais supplémentaires : c’est le début de la spirale du surendettement. Et « il y a péril en la demeure » !

De quelle demeure s’agit-il ? On pourrait croire que la maison est devenue dangereuse, mais pour quelle raison ? Un esprit maléfique la hante, un tremblement de terre l’a ébranlée, les termites ont dévoré la charpente qui menace de s’effondrer, une montée des eaux est en train de l’inonder, un incendie l’embrase, etc.… Ou bien encore qu’on annonce une saisie imminente !

Mais ce n’est pas le sens qu’il faut attribuer au mot demeure. Au XVIIe siècle, l’expression est apparue en utilisant le terme demeure comme le substantif du verbe demeurer, rester (du latin domorari ). Avec ce sens ancien de demeure, on comprend bien que l'inaction peut devenir source de danger. Il y a des risques à rester dans la situation actuelle sans agir, à ne pas chercher rapidement une solution à un problème. L’inverse : « il n’y a pas péril en la demeure » signifie qu’il n’y a pas d’urgence pour agir.

Et il est vrai que l’on peut tomber dans une situation de surendettement sans vraiment s’en rendre compte. Et alors : « Il y a péril en la demeure ».

Afin ne pas arriver à une telle extrémité, il faut maîtriser ses crédits. A défaut, comme en cas d’accident de vie qui a déséquilibré le budget, le rachat de crédits est une solution financière privée qui permet de regrouper tous les prêts en un nouveau et unique crédit de substitution dit « de restructuration » qui, grâce à un aménagement de la durée d’amortissement permet de réduire les mensualités significativement. Le réaménagement de prêts donne la possibilité intéressante de consolider les crédits à la consommation à taux fort, notamment les crédits revolving, les prêts immobiliers a un taux moins élevé ou fixe s’ils étaient révisables, et même d’y inclure de la trésorerie pour financer un projet ou obtenir du cash. Le courtier en crédit procède avec vous à un audit de votre situation, recherche la solution la mieux adaptée et la plus efficiente, effectue toutes les démarches, remplit toutes les formalités et s’occupe du montage et de l’instruction du dossier jusqu’à son terme. Qui plus est, vous n’encourez aucun risque : il n’est rémunéré qu’en cas de bonne fin, c'est-à-dire que l’établissement de crédit prêteur ne lui verse sa commission d’intermédiation préalablement convenue avec vous et incluse dans le financement global, que si ce dernier vous satisfait pleinement et lors de la mise à votre disposition des fonds correspondants qui ne transitent jamais par ses comptes.

Grâce au regroupement de crédits, les ménages retrouvent une sérénité et un nouveau souffle financier.

Il ne faut donc pas attendre qu’il y ait « péril en la demeure » pour faire appel à un organisme de rachat de crédits labellisé AFIB.

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