La fin des haricots


La crise financière est malheureusement encore d’actualité et se prolonge. Les conséquences sur l'économie sont toujours désastreuses : le chômage augmente et les entreprises continuent de licencier. Beaucoup de ménages, confrontés à une perte de leur pouvoir d’achat, ont tendance à cumuler les crédits et à faire appel à ce trop facile crédit revolving. Pour peu qu’ils soient confrontés au chômage, la situation devient infernale et ingérable, car les mensualités ne peuvent plus être honorées, les incidents de paiement se multiplient et le surendettement n’est pas loin. C’est « la fin des haricots » !

Que viennent faire les haricots dans notre sujet ?

C’est une expression récente du début du XXe siècle.

La première explication est la suivante : avant l’apparition de la télévision, les jeux de société étaient la distraction favorite des familles. On ne jouait pas de l’argent, mais on utilisait des haricots secs. Quand un joueur n’en avait plus, il avait perdu et la partie était finie pour lui.

Il y a une seconde explication : à l’époque, le mot « haricots » était employé pour désigner non seulement les fèves de haricots, mais toutes sortes de fèves (d’où l’autre expression populaire : « S’il me donne des pois, je lui donnerai des fèves » voulant, par exemple dire « S’il me fait de la peine, je lui ferai du chagrin », c'est-à-dire je lui rendrai la pareille) C’était la nourriture ordinaire dispensée dans les internats, les prisons ou celle des pauvres gens qui n’avaient pas les moyens d’acheter des aliments de meilleure qualité. Et lorsqu’on n’avait plus d’argent pour acheter ces haricots, c’était vraiment la fin de tout.

On peut aussi penser qu’à la récolte une partie des fèves étant mise de côté pour les semailles de l’année suivante si ces réserves venaient à disparaître, c’était la disette assurée. Bien sûr, on se dira qu’au début du XXe siècle en France, il y avait des légumes moins chers que les haricots : les pommes de terre. Alors ?

Quoi qu’il en soit, on voit bien que, dans la situation exposée plus haut, lorsque l’on ne peut plus faire face à ses dépenses, c’est « la fin des haricots », la perte complète d'espoir.

Ce serait compter sans le rachat de crédits !

Car la solution du regroupement de prêts est possible même si l’un des membres du couple touche des indemnités de chômage à conditions que le salaire de l’autre suffise. C’est toutefois assez rarement le cas. C’est pourquoi si le risque de chômage partiel ou total se profile, n’hésitez pas à faire appel à un établissement spécialisé dans le réaménagement de crédits avant que ce risque se matérialise. Un courtier spécialisé analyse votre situation, détermine et négocie pour vous la meilleure offre auprès des banques. Le rachat de crédit permet de regrouper les encours existants en un seul crédit dit de « substitution » et de réduire le taux d'endettement de manière significative grâce à un allongement de la durée et donc de diminuer fortement les mensualités. Ce rachat de prêts, en outre, simplifie la gestion des comptes, un seul prêt, une mensualité unique, tout cela sans changer de banque.

Vous pourrez envisager de nouveaux projets et surtout éviter un dossier de surendettement. Non, ce n’est pas « la fin des haricots », grâce au rachat de credits !

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