Tirer le diable par la queue


La crise économique et financière que nous vivons actuellement, fait que de nombreux ménages sont confrontés à une perte accrue de leur pouvoir d’achat et doivent faire face à la hausse du coût de la vie avec des revenus diminués. Ils ont de plus en plus de difficultés à rembourser leurs crédits, les incidents de paiement se multiplient et le surendettement n’est pas loin. Ils n’en peuvent plus de « tirer le diable par la queue »…

Un mystère entoure l'origine de cette expression. De nombreux lexicographes ont tenté de l'expliquer par l'image d’un homme dans un grand besoin, qui contacte le Diable pour lui demander de l’aide. Mais une fois informé, le Diable décide de repartir sans rien lui accorder. Le pauvre homme, qui est pourtant prêt à vendre son âme tellement il est dans le besoin, cherche désespérément à le retenir par ce qui lui tombe sous la main, c'est-à-dire la queue. Au XVIe siècle, cette expression signifiait travailler humblement pour gagner raisonnablement sa vie. Dès 1690, Antoine Furetière, lexicographe et homme d’église, donne notre signification actuelle à l'expression.

Que faut-il faire pour ne pas « tirer le diable par la queue ?

Penser au rachat de credit bien sûr !

La solution financière de réaménagement de crédits permet de regrouper tous ses encours actuels et ses dettes en un seul prêt dit « de substitution ».et la mensualité globale de ce prêt est diminuée ou maintenue. Réaliser une opération de regroupement de crédits, c’est retrouver la faculté d’épargner, envisager de nouveaux projets et surtout éviter le surendettement.

Finies les difficultés pour subvenir à ses besoins, plus question de « tirer le diable par la queue » !

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