Un rachat de crédits à double détente



Jean est père d’une famille de deux enfants devenus grands. Il occupait un poste de directeur dans une firme internationale et touchait un revenu élevé. Un beau jour, il décida que le temps était venu de réaliser un vieux rêve : se mettre à son compte et créa alors sa propre entreprise en zone franche urbaine tout en conservant son travail. Son épouse devint sa salariée.

Pour démarrer, il dut contracter plusieurs prêts car ni ses propres banques ni aucun établissement de crédit ne voulait financer intégralement ses besoins. Il fallait morceler le financement en allant même jusqu’aux crédits revolving. Ainsi, avec son niveau de revenu mensuel et sa bonne conduite bancaire, Jean n'eut aucun mal à se faire accorder dix crédits auprès de sa banque et des organismes financiers (ces derniers prennent toujours en compte le risque, la garantie et leur marge bénéficiaire). Chaque crédit avait ses propres caractéristiques: des taux, des mensualités et des durées de remboursement différentes.

Durant les trois premières années tout allait très bien. Jean pouvait aisément payer ses mensualités et subvenir aux besoins de sa famille, en particulier au coût élevé des études supérieures de ses filles . Malheureusement, au début de l’année suivante, Jean perdit son travail; son revenu mensuel chuta sensiblement car son entreprise qui marchait pourtant bien était encore en phase de lancement et ne lui rapportait pas suffisamment pour compenser intégralement le salaire perdu.

Trois seulement mois seulement après qu'il ait perdu son emploi salarié, Jean se trouva quasiment surendetté. Ses charges de crédits (le total de toutes ses mensualités) excédaient la moitié du nouveau revenu mensuel du foyer (les organismes financiers s'accordent sur le fait qu'un ménage est considérée comme surendetté si ses mensualités de crédit excèdent plus ou moins le tiers son revenu disponible). De plus, la gestion de dix crédits différents, compte tenu des nombreux rejets de prélèvements, n'était pas facile pour éviter le fichage auprès de la Banque de France. Il fallait jongler !

Il avait aussi des retards de charges sociales et des dettes envers ses fournisseurs, des prestataires de service.

Jean cherchait désespéramment une solution. Puis un jour, en surfant sur le net, Jean découvrit le concept du rachat de crédits (on parle aussi de consolidation ou de restructuration). Le rachat de crédit lui permettrait de soit renégocier son seul prêt immobilier (un nouveau taux, une nouvelle durée, une nouvelle mensualité ...) soit de regrouper tout ou partie de ses prêts et de ses dettes en un seul crédit (un taux, une mensualité et une durée de remboursement unique): on parle alors plutôt de regroupement de crédits (l'établissement qui rachète vos crédits les rembourse par anticipation ainsi que vos autres dettes). Une simulation lui était proposée. Il se décida de la faire (ça ne lui a pris que 5 minutes) et fût agréablement surpris de découvrir que ses mensualités actuelles seraient divisées par trois en se faisant racheter tous ses crédits.

Comme Jean n'était pas interdit bancaire ( interdiction d’émettre des chèques et inscription au FCC ), il n'aurait aucun problème pour procéder au rachat (une interdiction bancaire entraîne un refus systématique; de même qu'une inscription au FICP pour les non-propriétaires).

Mais seulement Jean ne savait pas à qui s'adresser (pour un choix judicieux). Il décida d’examiner de près les sites et les offres des banques, des organismes financiers et des courtiers en rachat de crédits.

Pour conclure un rachat de crédit (renégociation et regroupement), Jean savait que le professionnel qu’il choisirait devrait tenir compte de son profil, de sa situation, des objectifs qu'il s'était fixés et de ses projets. De plus, il fallait éviter quelques pièges comme le risque de générer plus de frais que les avantages n’en valaient ou de trop se concentrer bêtement sur une baisse de taux sans regarder les autres caractéristiques comme la durée de remboursement qui peut atteindre des sommets ( jusqu’à 50 ans a-t-il appris ! ).

Jean qui pensait qu'il lui serait profitable de renégocier ses trois plus gros crédits, dont le prêt immobilier principal, auprès de ses propres banques qui les lui avaient octroyés car ça lui épargnerait des frais, dut déchanter. Celles-ci étaient réticentes car cela ne faisait pas partie de leurs objectifs. Elles devraient alors faire beaucoup d'efforts pour conserver Jean car elles étaient en situation d'infériorité dans la négociation ne disposant pas d’un grand nombre de solutions. Qui plus est, malgré les trois exercices comptables en constante progression de son entreprise, le changement de situation de Jean ne les incitaient pas à se battre. Les revenus du couple dépendaient entièrement d’une seule et même encore jeune TPE : trop de risques ! Puis Jean s'adressa à la concurrence bancaire locale qui le reçut les bras ouverts afin de le pousser à ouvrir un compte mais finalement ne lui fit pas de meilleures offres.

Certes, Jean n'aurait eu à payer que des frais de dossier et des pénalités pour remboursement anticipé (cette pénalité est fixée par une clause du contrat avec la banque mais elle est limitée à 3% du capital qui reste à payer par la loi SCRIVENER). En revanche, les taux étaient relativement élevés, surtout pour l’immobilier, et avec l’allongement de la durée de remboursement malgré tout insuffisante, il n’était pas gagnant. Qui plus est, il aurait dû payer en surplus les frais d'ouverture et de tenue de compte, ceux des cartes bancaires, offrir de nouvelles garanties... Et il devrait reconstruire toute une relation de confiance avec une nouvelle banque. Cela n’était pas intéressant. Jean avait déjà perdu beaucoup de temps et d’énergie : son enthousiasme commençait à s’émousser.

Alors, après y avoir mûrement réfléchi, il décida finalement de regrouper l’ensemble de ses crédits et de ses dettes. Jean se tourna pour cela vers des courtiers en rachat de crédits (des intermédiaires en opérations de banque) parce qu’ils détiennent l’offre la plus abondante et prennent en charge toutes les démarches et formalités. Après un examen attentif des sites qu’il avait sélectionnés sur des critères objectifs – en particulier l’appartenance à un syndicat professionnel – parmi lesquels http://www.e-rachat-credit.fr-/ et un entretien téléphonique avec les courtiers les plus réactifs, il jeta son dévolu sur la société RAINBOW FINANCE qui lui avait semblé être le plus professionnel d’entre eux. Après s’être longuement enquis de la situation et des attentes de Jean et d’Adeline, son épouse, l’analyste de cette société, véritable experte du rachat de crédits, leur expliqua longuement les avantages et les inconvénients des différentes formules de regroupement de crédits envisageables. Elle leur proposa deux options à TAUX FIXES : avec et sans la consolidation du prêt immobilier principal ( il laissait en tout état de cause de côté le prêt à 1%). Le rachat de crédit global s’avérait répondre le mieux au besoin actuel de Jean de faire baisser au maximum la charge de remboursement en attendant la montée en puissance de son entreprise à laquelle il se consacrait désormais à 100%. Même pour le rachat de crédit global, l’analyste de la société RAINBOW FINANCE leur proposa à nouveau deux options : avec ou sans hypothèque.

Adeline et Jean optèrent pour un rachat de crédit hypothécaire global ; ils regroupaient ainsi l’intégralité des crédits et des dettes de Jean en un seul prêt ayant le même taux fixe et la même durée maximale de remboursement qu'un prêt immobilier ; l'hypothèque de leur maison servait de garantie.

Pour les frais du rachat, Jean négocia la commission d’intermédiation ( frais de courtage ) qui ne serait due que si sa femme et lui obtenaient le prêt de restructuration qui leur convenait à 100% et serait incluse, comme les frais de notaire (relatifs à l'hypothèque) qui avaient considérablement été réduits depuis peu, dans le financement global. Seulement pour éviter de payer en surplus les frais d'une main levée ("l’effacement") de l'hypothèque sur la maison, Jean et Adeline obtinrent une hypothèque de deuxième rang. Comme l'organisme qui rachète le crédit immobilier va rembourser la dette bénéficiant de cette sûreté réelle, l'hypothèque initiale ne sera plus causée. C'est l'hypothèque de second rang qui va alors prendre effet.

Adeline et Jean durent souscrire une assurance-emprunteur pour les opérations de rachat car ils devaient être couverts tout au long du prêt. Le prestataire en rachat de crédits leur trouva une assurance très complète à 100% sur chaque tête avec une prime de moitié inférieure à celle de l’assurance-groupe de l’établissement prêteur et bien moins chère que le cumul de celles que Jean payait au titre de ses anciens crédits. Cette prime était également fixe et n’augmenterait pas en fonction de l’âge ou de l’état de santé.

En se faisant racheter ses crédits, Jean avait diminué les charges mensuelles de son foyer et il lui était plus facile de gérer un seul crédit auprès d’un unique créancier . Maintenant Adeline et Jean pouvaient même envisager de faire une épargne.

Deux ans après l'opération de réaménagement de crédits, le revenu de Jean avait considérablement augmenté. Il décida alors de renégocier à nouveau son prêt de restructuration pour en diminuer la durée de remboursement et, par conséquent, le coût global du crédit. Comme il s'était déjà écoulé plus d'un an entre les deux demandes de rachat et qu'aucun incident de paiement n'était survenu, Jean était éligible à une seconde demande et se trouvait en meilleure position pour obtenir de meilleures conditions.

Il se rapprocha tout naturellement de la société de rachat de crédit qui avait réalisé la première restructuration « clef en main » dont il avait été parfaitement satisfait. La même analyste lui fut dédiée. Elle réussit à nouveau parfaitement dans sa nouvelle mission en lui obtenant, cette fois-ci, un rachat de prêt cautionné d’une durée sensiblement plus courte et bénéficiant d’un taux très compétitif grâce à une commission d’intermédiation qu’elle avait considérablement réduite de sa propre initiative pour cette seconde opération.

le rachat de crédits s'adresse à toutes les catégories socio-professionnelles, aux propriétaires comme à ceux qui ne le sont pas (vous aurez droit à un rachat de crédit avec ou sans hypothèque selon le cas).

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