Corinne et Sylvain, qui ont respectivement 42 et 47 ans, forment un couple relativement modeste vivant dans l’Entre-Deux-Mers en Gironde avec leurs trois enfants de 13, 15 et 17 ans. La femme travaille comme assistante médicale dans une clinique privée. Quant à son mari, il exerce le métier de responsable commercial dans une société de publicité.
Au début de leur mariage, le couple vivait avec le seul salaire du mari. Néanmoins, ils ont connu une situation financière plutôt facile à gérer car ils n’avaient pas encore d’enfant. C’est par la suite que Corinne a pu trouver un travail et ce dernier a facilité encore plus l’aisance budgétaire du couple. Avant l’arrivée de leur premier enfant, le couple a pu faire l’acquisition d’une petite maison, la meubler et l’équiper. Ils ont également fait l’achat de leur première voiture.
L’arrivée de leurs enfants se fait presque successivement car deux ans après l’aîné, Corinne et Sylvain ont eu leur second enfant. Peu de temps après, l’arrivée de leur dernier enfant a marqué le commencement des difficultés de gestion budgétaires. Leurs revenus ne parvenaient plus qu’à assurer les besoins essentiels de la famille. En réalité, le couple vivait avec un revenu mensuel d’un peu moins de 3.800 euros. Ces ressources connaîtront par la suite une sensible augmentation, mais malgré cela, ils avaient du mal à réaliser leurs projets. Par exemple, ils n’ont aucune possibilité de financer par eux-mêmes des travaux ou de moderniser leurs équipements et ils doivent se résoudre à vivre une vie assez modeste de leur point de vue.
Pour sortir de cette situation d’invariabilité, le couple pensait avoir trouvé une solution : le crédit. Ils décident alors de contracter quelques emprunts pour sortir de leurs contraintes budgétaires. Le premier crédit contracté par la famille est un crédit automobile permettant d’acheter une nouvelle voiture à Corinne afin qu’elle puisse déposer les enfants avant de se rendre à son travail. Le remboursement de ce prêt laisse encore une petite marge sur le budget du ménage. Cette marge a toutefois permis au couple d’obtenir un nouveau prêt suivi par d’autres relativement moins importants. Ils étaient, par exemple, destinés à acheter une télé plasma et d’autres appareils électroménagers, l’équipement de la chambre de leurs enfants, etc. Avec tous ces crédits, le budget a du mal à suivre. Les salaires du couple s’avérent très justes pour financer la charge de remboursement de crédit, outre les dépenses courantes. Les fins de mois sont de plus en plus difficiles et chaque dépense doit être comptée pour éviter un rejet de prélèvement ou de chèque. Cette situation a contraint Corinne et Sylvain à consacrer tous leurs efforts au remboursement de leurs dettes au détriment de la qualité de vie.
Cependant, après quelques mois de rigueur, le couple est encore tenté par un nouvel emprunt qu’ils veulent être le dernier. Ils avaient toujours rêvé d’avoir une piscine et leurs enfants ne cessaient de leur demander d’en installer une pour s’amuser pendant les vacances car ils quittaient plus la maison pour éviter des dépenses hors de leurs moyens. Avec beaucoup d’efforts et d’astuce, ils finirent par obtenir un prêt travaux et firent construire la piscine dans leur jardin. C’est là qu’ils se rendirent compte de leur erreur. En fait, ils se retrouvent avec un taux d’endettement très élevé. Leurs deux salaires et les allocations familiales n’arrivent plus cette fois à assurer la charge des dettes ajoutées à celle de leurs dépenses quotidiennes. A partir de cette période, la famille vit un véritable calvaire. Elle est obligée de vivre en permanence dans l’austérité sans pour autant arranger sa situation financière toujours aussi tendue et dégradée.
Au fil des mois, Corinne et Sylvain se posent tous les deux la question : « comment sortir de cette galère ? ». Ils se refusent à aller à la Banque de France pour déposer un dossier de surendettement. Ils ont tout fait pour trouver une autre solution qui semble être introuvable. Il arrive même maintenant que Corinne et la Sylvain se disputent à cause de leurs problèmes. Les résultats scolaires des enfants commencent même à s’en ressentir.
Un jour, le couple apprend par hasard l’existence d’une formule qui leur semble tout simplement incroyable : le rachat de crédits. Aussitôt, ils décident d’en savoir plus. Ils filent consulter leur banquier. Celui-ci leur explique en quoi consiste le rachat credit, cette technique bancaire relativement nouvelle en France et estime qu’ils devraient y être éligibles. Corinne et Sylvain exultent. Malheureusement, au terme d’une rapide simulation, leur banquier balaie leur espoir naissant : La mensualité du prêt de restructuration qui devrait consolider non seulement l’ensemble des crédits à la consommation mais également le prêt immobilier, même calculée sur la durée d’amortissement la plus longue qu’il puisse consentir, c'est-à-dire 20 ans, dépasse le taux d’effort normatif de 33% auquel il est astreint. Toutefois, il leur explique que les courtiers en rachat de crédit disposent quant à eux d’un grand nombre de solutions car ils sont mandatés par de nombreux établissements véritablement spécialisés dans le réaménagement de crédits. En particulier, en ce qui concerne les formules de rachat de crédit propriétaire, les durées d’amortissement peuvent aller jusqu’à 30 ans et le taux d’effort jusqu’à 50% selon le reste à vivre qui dépend des ressources et de la composition de la famille. Il leur conseille une société de rachat de crédit, connue et reconnue ( elle est membre de l’AFIB et du SIOB, les deux syndicats représentatifs de la profession ) pour son grand professionnalisme et sa probité, située dans la banlieue bordelaise avec laquelle il collabore lorsqu’il ne peut lui-même apporter une solution satisfaisante à ses clients.
Peu après, Corinne et Sylvain rencontre chez eux Madame F., la responsable de ce cabinet de rachat credit qui d’entrée de jeu leur inspire confiance. Elle les interroge et les écoute longuement avant de se lancer dans diverses simulations dont elle leur explique les résultats de façon claire et intelligible. Les avantages et les inconvénients de chaque formule sont passés au crible. Ils décident ensemble d’opter pour un rachat de crédit immobilier sans hypothèque et à taux fixe, c'est-à-dire garanti par une société de caution mutuelle, car c’est légèrement moins cher et plus rapide qu’un rachat de crédit hypothécaire. Pour respecter le budget des emprunteurs et le rééquilibrer, la durée de remboursement sera de 25 ans. L’intermédiaire bancaire se chargera de toutes les démarches et de toutes les formalités en s’impliquant personnellement dans l’instruction de leur dossier pour en optimiser les chances d’acceptation dans un délai court. Elle fera bien tendu jouer la concurrence entre ses divers partenaires financiers dont les critères correspondent à la demande de Corinne et Sylvain. Ensemble, ils montent immédiatement le dossier car la prestataire en rachat credit explique à Corinne et Sylvain qu’ils se s’engagent à rien : La commission d’intermédiation qui rémunère son travail ne sera exigible que si elle obtient le refinancement qui l’inclut et dont ils sont convenus. Corinne et Sylvain peuvent à tout moment mettre fin sa mission sans rien lui devoir.
En moins d’un mois, tout a été réglé. Le courtier en rachat de crédit s’est occupé de tout avec une remarquable réactivité et une très grande gentillesse.
Après presque un an de contrariétés et de tourments, Corinne et Sylvain voient le soleil qui brille à nouveau pour eux. Par rapport à la totalité des mensualités d’avant, leur nouvelle mensualité est nettement plus réduite. En fait, elle est diminuée de 50 % s’ajustant parfaitement à la capacité de remboursement réelle du foyer. Certes, ils paieront plus longtemps, mais ils pourront le faire en vivant confortablement alors qu’autrement, faute de pouvoir faire face à des mensualités qui accaparaient la quasi-totalité de leurs ressources, leur maison aurait fini par être saisie et le produit de sa vente à la bougie n’aurait pas même suffi à rembourser le solde de tous les crédits sensiblement augmenté du poids des intérêts de retard, des indemnités d’impayés, frais bancaires divers, coût de recouvrement amiable et forcé, émoluments d’huissiers de justice, intérêts moratoires et légaux et dépens de procédure …
Ils se sont jurés qu’ils ne tomberaient plus jamais dans une pareille situation. Le rachat de crédit leur a donné un moyen et une leçon pour gérer de manière efficace leur budget. Avec leurs trois enfants, le couple vivent maintenant avec une sérénité totale et, malgré la piscine, peuvent partir quelques jours en vacances.
A l’heure actuelle, Corinne et Sylvain envisagent même de réaliser un projet qui leur tenait à cœur depuis leurs premières années de mariage. Il consiste dans l’ouverture d’un gîte rural dans leur département. Ils pensent qu’ils pourront mettre suffisamment d’argent de côté grâce au rachat de crédit d’ici cinq ans pour réaliser ce projet.
Au début de leur mariage, le couple vivait avec le seul salaire du mari. Néanmoins, ils ont connu une situation financière plutôt facile à gérer car ils n’avaient pas encore d’enfant. C’est par la suite que Corinne a pu trouver un travail et ce dernier a facilité encore plus l’aisance budgétaire du couple. Avant l’arrivée de leur premier enfant, le couple a pu faire l’acquisition d’une petite maison, la meubler et l’équiper. Ils ont également fait l’achat de leur première voiture.
L’arrivée de leurs enfants se fait presque successivement car deux ans après l’aîné, Corinne et Sylvain ont eu leur second enfant. Peu de temps après, l’arrivée de leur dernier enfant a marqué le commencement des difficultés de gestion budgétaires. Leurs revenus ne parvenaient plus qu’à assurer les besoins essentiels de la famille. En réalité, le couple vivait avec un revenu mensuel d’un peu moins de 3.800 euros. Ces ressources connaîtront par la suite une sensible augmentation, mais malgré cela, ils avaient du mal à réaliser leurs projets. Par exemple, ils n’ont aucune possibilité de financer par eux-mêmes des travaux ou de moderniser leurs équipements et ils doivent se résoudre à vivre une vie assez modeste de leur point de vue.
Pour sortir de cette situation d’invariabilité, le couple pensait avoir trouvé une solution : le crédit. Ils décident alors de contracter quelques emprunts pour sortir de leurs contraintes budgétaires. Le premier crédit contracté par la famille est un crédit automobile permettant d’acheter une nouvelle voiture à Corinne afin qu’elle puisse déposer les enfants avant de se rendre à son travail. Le remboursement de ce prêt laisse encore une petite marge sur le budget du ménage. Cette marge a toutefois permis au couple d’obtenir un nouveau prêt suivi par d’autres relativement moins importants. Ils étaient, par exemple, destinés à acheter une télé plasma et d’autres appareils électroménagers, l’équipement de la chambre de leurs enfants, etc. Avec tous ces crédits, le budget a du mal à suivre. Les salaires du couple s’avérent très justes pour financer la charge de remboursement de crédit, outre les dépenses courantes. Les fins de mois sont de plus en plus difficiles et chaque dépense doit être comptée pour éviter un rejet de prélèvement ou de chèque. Cette situation a contraint Corinne et Sylvain à consacrer tous leurs efforts au remboursement de leurs dettes au détriment de la qualité de vie.
Cependant, après quelques mois de rigueur, le couple est encore tenté par un nouvel emprunt qu’ils veulent être le dernier. Ils avaient toujours rêvé d’avoir une piscine et leurs enfants ne cessaient de leur demander d’en installer une pour s’amuser pendant les vacances car ils quittaient plus la maison pour éviter des dépenses hors de leurs moyens. Avec beaucoup d’efforts et d’astuce, ils finirent par obtenir un prêt travaux et firent construire la piscine dans leur jardin. C’est là qu’ils se rendirent compte de leur erreur. En fait, ils se retrouvent avec un taux d’endettement très élevé. Leurs deux salaires et les allocations familiales n’arrivent plus cette fois à assurer la charge des dettes ajoutées à celle de leurs dépenses quotidiennes. A partir de cette période, la famille vit un véritable calvaire. Elle est obligée de vivre en permanence dans l’austérité sans pour autant arranger sa situation financière toujours aussi tendue et dégradée.
Au fil des mois, Corinne et Sylvain se posent tous les deux la question : « comment sortir de cette galère ? ». Ils se refusent à aller à la Banque de France pour déposer un dossier de surendettement. Ils ont tout fait pour trouver une autre solution qui semble être introuvable. Il arrive même maintenant que Corinne et la Sylvain se disputent à cause de leurs problèmes. Les résultats scolaires des enfants commencent même à s’en ressentir.
Un jour, le couple apprend par hasard l’existence d’une formule qui leur semble tout simplement incroyable : le rachat de crédits. Aussitôt, ils décident d’en savoir plus. Ils filent consulter leur banquier. Celui-ci leur explique en quoi consiste le rachat credit, cette technique bancaire relativement nouvelle en France et estime qu’ils devraient y être éligibles. Corinne et Sylvain exultent. Malheureusement, au terme d’une rapide simulation, leur banquier balaie leur espoir naissant : La mensualité du prêt de restructuration qui devrait consolider non seulement l’ensemble des crédits à la consommation mais également le prêt immobilier, même calculée sur la durée d’amortissement la plus longue qu’il puisse consentir, c'est-à-dire 20 ans, dépasse le taux d’effort normatif de 33% auquel il est astreint. Toutefois, il leur explique que les courtiers en rachat de crédit disposent quant à eux d’un grand nombre de solutions car ils sont mandatés par de nombreux établissements véritablement spécialisés dans le réaménagement de crédits. En particulier, en ce qui concerne les formules de rachat de crédit propriétaire, les durées d’amortissement peuvent aller jusqu’à 30 ans et le taux d’effort jusqu’à 50% selon le reste à vivre qui dépend des ressources et de la composition de la famille. Il leur conseille une société de rachat de crédit, connue et reconnue ( elle est membre de l’AFIB et du SIOB, les deux syndicats représentatifs de la profession ) pour son grand professionnalisme et sa probité, située dans la banlieue bordelaise avec laquelle il collabore lorsqu’il ne peut lui-même apporter une solution satisfaisante à ses clients.
Peu après, Corinne et Sylvain rencontre chez eux Madame F., la responsable de ce cabinet de rachat credit qui d’entrée de jeu leur inspire confiance. Elle les interroge et les écoute longuement avant de se lancer dans diverses simulations dont elle leur explique les résultats de façon claire et intelligible. Les avantages et les inconvénients de chaque formule sont passés au crible. Ils décident ensemble d’opter pour un rachat de crédit immobilier sans hypothèque et à taux fixe, c'est-à-dire garanti par une société de caution mutuelle, car c’est légèrement moins cher et plus rapide qu’un rachat de crédit hypothécaire. Pour respecter le budget des emprunteurs et le rééquilibrer, la durée de remboursement sera de 25 ans. L’intermédiaire bancaire se chargera de toutes les démarches et de toutes les formalités en s’impliquant personnellement dans l’instruction de leur dossier pour en optimiser les chances d’acceptation dans un délai court. Elle fera bien tendu jouer la concurrence entre ses divers partenaires financiers dont les critères correspondent à la demande de Corinne et Sylvain. Ensemble, ils montent immédiatement le dossier car la prestataire en rachat credit explique à Corinne et Sylvain qu’ils se s’engagent à rien : La commission d’intermédiation qui rémunère son travail ne sera exigible que si elle obtient le refinancement qui l’inclut et dont ils sont convenus. Corinne et Sylvain peuvent à tout moment mettre fin sa mission sans rien lui devoir.
En moins d’un mois, tout a été réglé. Le courtier en rachat de crédit s’est occupé de tout avec une remarquable réactivité et une très grande gentillesse.
Après presque un an de contrariétés et de tourments, Corinne et Sylvain voient le soleil qui brille à nouveau pour eux. Par rapport à la totalité des mensualités d’avant, leur nouvelle mensualité est nettement plus réduite. En fait, elle est diminuée de 50 % s’ajustant parfaitement à la capacité de remboursement réelle du foyer. Certes, ils paieront plus longtemps, mais ils pourront le faire en vivant confortablement alors qu’autrement, faute de pouvoir faire face à des mensualités qui accaparaient la quasi-totalité de leurs ressources, leur maison aurait fini par être saisie et le produit de sa vente à la bougie n’aurait pas même suffi à rembourser le solde de tous les crédits sensiblement augmenté du poids des intérêts de retard, des indemnités d’impayés, frais bancaires divers, coût de recouvrement amiable et forcé, émoluments d’huissiers de justice, intérêts moratoires et légaux et dépens de procédure …
Ils se sont jurés qu’ils ne tomberaient plus jamais dans une pareille situation. Le rachat de crédit leur a donné un moyen et une leçon pour gérer de manière efficace leur budget. Avec leurs trois enfants, le couple vivent maintenant avec une sérénité totale et, malgré la piscine, peuvent partir quelques jours en vacances.
A l’heure actuelle, Corinne et Sylvain envisagent même de réaliser un projet qui leur tenait à cœur depuis leurs premières années de mariage. Il consiste dans l’ouverture d’un gîte rural dans leur département. Ils pensent qu’ils pourront mettre suffisamment d’argent de côté grâce au rachat de crédit d’ici cinq ans pour réaliser ce projet.
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